"Quelques instants magiques"
L'autre soir, le 26 décembre 2009, un jour à peine après la naissance de l'Enfant Dieu en Palestine, les gens des Frontignes se sont ressemblés dans la petite Eglise du village pour une crèche vivante, pour un instant de foi, dans la simplicité et dans le recueillement.
Ils sont venus dans ce lieu magique du parvis dominé par les sommets enneigés des "trois mille" et posé sur plus de vingt siècles d'humanité, vingt siècles d'histoire, vingt siècles de croyance en des dieux tutélaires.
L'autre soir à Saint Pé d'Ardet, le poète était là, Charles Baudelaire lui écrivit dans "Les Phares" à la Gloire de Dieu : "et cet ardent sanglot qui roule d'être d'âge en âge et vient mourir en bord de votre Eternité".
A.B
L'autre soir, le 26 décembre 2009, un jour à peine après la naissance de l'Enfant Dieu en Palestine, les gens des Frontignes se sont ressemblés dans la petite Eglise du village pour une crèche vivante, pour un instant de foi, dans la simplicité et dans le recueillement.
Ils sont venus dans ce lieu magique du parvis dominé par les sommets enneigés des "trois mille" et posé sur plus de vingt siècles d'humanité, vingt siècles d'histoire, vingt siècles de croyance en des dieux tutélaires.
L'autre soir à Saint Pé d'Ardet, le poète était là, Charles Baudelaire lui écrivit dans "Les Phares" à la Gloire de Dieu : "et cet ardent sanglot qui roule d'être d'âge en âge et vient mourir en bord de votre Eternité".
A.B

